Le « simile »
Le principe de similitude
 
« Simile similibus curentur » – le semblable devrait être soigné par le
semblable. La thérapie homéopathique suit ce principe de similitude.
Une substance qui provoque certains symptômes chez un être sain
peut guérir des symptômes semblables chez un malade.
C’EST LA RÈGLE PRINCIPALE DE L’HOMÉOPATHIE.
 
La concordance de la symptomatologie et du remède en est le but. Il
s’agit toujours de plusieurs symptômes dont il n’y a que certains qui
ont une valeur pour l’homéopathie. Les symptômes peuvent se
manifester dans une grande diversité et – comme mentionné auparavant – ils peuvent se
manifester non seulement à l’emplacement concerné en tant que symptômes maladifs. Il peut
s’agir de sensibilités, prédilections, états d’âme extraordinaires etc., bref de particularités de
l’être à soigner. Les symptômes ont donc un rapport à la personnalité dans sa globalité. Les
symptômes maladifs ne sont qu’une partie de la totalité des symptômes. Cela explique pourquoi
le même remède peut être appliqué contre des maladies différentes, et pourquoi des remèdes
différents peuvent être prescrits contre une maladie avec la même appellation.
 
L’homéopathie classique n’utilise que des substances singulières. Les substances combinées
(ce qu’on appelle les substances complexes) suivent le principe des indications éprouvées. Cela
n’a rien à voir avec la thérapie homéopathique classique, aussi peu que l’application d’une
substance singulière sans individualisation.
Ursula Büttner,  Homéopathe pour animaux,  Le Breuchot,  F - 70280 st.Bresson,  Tel.: 0384946775